Cet antisémitisme qui vient
Cet antisémitisme qui vient
La source de ce nouvel élan
d’antisémitisme est chevillée
à l’islamisme, et c’est ce
dernier qui, via l’immigration,
l’a importé en Europe.
Depuis que dans nos Universités et nos Hautes Ecoles flotte le drapeau de l’antisémitisme où s’étale le slogan polémique «Du Jourdain à la mer», ces mots typés qui évoquent le territoire d’un Etat palestinien en lieu et place de l’Etat d’Israël, depuis que les rectorats sont tellement mollachus qu’ils ne parviennent pas à libérer leurs couloirs des quelques dizaines de manifestants manipulés par l’Iran et le Hamas, chacun se demande comment l’antisémitisme a pu remontrer son nez avec une pareille impudeur. Nous n’aurions donc rien retenu de l’histoire? Faux! La source de ce nouvel élan d’antisémitisme ne vient pas de l’antique antijudaïsme chrétien qu’on ne retrouve plus qu’à l’état larvaire dans certains milieux hyper-religieux et qui n’ont aucune influence. Elle ne trouve pas non plus sa source dans la théorie nazie de la Deuxième Guerre mondiale qui a conduit à la Shoah, et dont les adeptes dégénérés sont des marginaux. Non, les contextes ont changé et il s’agit d’une autre souche: elle est chevillée à l’islamisme, et c’est ce dernier qui, via l’immigration, l’a importée en Europe.
Bien sûr, la gauche passéiste et médiatique qui décline machinalement son catéchisme antifasciste à toute occasion n’hésite pas à le relier à ce qu’elle psalmodie: c’est la faute de l’extrême droite! Mantra tellement simpliste que ça en annule toute portée. Mais cela lui permet surtout d’éviter l’autocritique, puisque c’est dans le chaudron de ses rangs que s’élabore l’antisémite. Regardez où vous voulez: ces dernières années, les crimes antisémites portent la marque de l’islamisme.
Il semble que la plupart des islamo-gauchistes qui manifestent sous nos climats contre l’offensive de Gaza – et à ce titre précis on ne peut pas leur donner totalement tort – soient plus en faveur de la destruction d’Israël que de la création d’un Etat palestinien. En effet, la destruction d’Israël servirait à déstabiliser un Occident qu’ils détestent, mais dont ils profitent en s’installant chez nous tout en sachant se faire une alliée de notre tolérance, voire de notre faiblesse.