Rigueur et persévérance, les clefs de la réussite

Dans l’esprit de la fondatrice, Natalia Poskriakov, et selon sa philosophie, tout le monde doit avoir la chance – et parfois, une seconde chance – d’accéder à des études supérieures. Pour ce faire, il suffit d’allier compétence, rigueur et persévérance.
Fondée dans le but initial de permettre aux étudiants étrangers de préparer les examens d’admission aux Universités suisses, l’EPSU, portée par la passion de sa directrice, a rapidement diversifié les cursus proposés avec pour maître-mot l’accès aux hautes études: Universités, HES, Ecoles polytechniques. Les étudiants admis à l’EPSU peuvent aujourd’hui préparer notamment la Maturité suisse, les examens fédéraux de Maturité professionnelle post-CFC ou encore la Passerelle Dubs, permettant aux porteurs de Maturité professionnelle ou spécialisée d’étudier à l’Université.
Au fil du temps, l’EPSU est devenue une véritable référence pour la préparation accélérée à la Maturité suisse, réalisée sur 2 à 4 semestres en fonction du niveau d’études de l’élève. Parallèlement, l’école propose un programme de sciences renforcées permettant aux candidats admis d’office de se préparer aux Hautes Ecoles scientifiques comme l’EPFL, la Faculté des sciences ou la Faculté de médecine.
Le plus bel atout de l’EPSU est son corps enseignant, formé de professionnels passionnés par leur métier qu’ils exercent avec rigueur, à l’image de sa fondatrice et de son directeur-adjoint Fabien Knittel. Ensemble, ils ont mis en place une méthode de travail spécifique, permettant une acquisition optimale des connaissances dans un contexte d’enseignement intensif. Et cela fonctionne!

Le système pédagogique de l’EPSU, une vraie valeur ajoutée

Le système pédagogique de l’EPSU est un véritable accompagnement, conçu pour entraîner l’élève au travail scolaire tout en lui facilitant l’apprentissage, l’aider à se surpasser et le préparer à poursuivre ses études supérieures sereinement. Mais travailler à l’économie, avec le moins d’efforts possible, n’a pas sa place dans cette institution.
Les élèves disposent de polycopiés qu’ils annotent, les dispensant de la prise de notes en classe. Ils bénéficient d’un encadrement rigoureux et suivent des plannings de travail complets. «Le temps libre après les cours est dédié uniquement à réviser les acquis du jour, pour permettre au cerveau d’ancrer l’information, explique Sergei Poskriakov, co-fondateur de l’EPSU et son directeur administratif. Les devoirs, permettant de la cristalliser, sont quant à eux réalisés sur le week-end». Si les enseignants sont toujours disponibles pour répondre aux questions orales pendant ou après le cours, les questions aux professeurs survenues durant le travail scolaire personnel sont rédigées par écrit, ce qui oblige l’élève à réfléchir pour formuler sa question. «Bien souvent, le simple fait de devoir faire l’effort de la formulation écrite entraîne l’élève à trouver par lui-même la réponse», assure Fabien Knittel.

Numérisation et orientation

Les supports de cours tels que fiches d’avancement, fiches de synthèse, tests et exercices avec leurs corrigés sont depuis de nombreuses années numérisés et mis en ligne sur la plate-forme digitale eLena, ce qui permet aux élèves absents de rattraper les cours manqués. Mais cette plate-forme permet aussi de proposer des cours à distance sur la base des enseignements éprouvés en classe. Ce système attire principalement les sportifs, danseurs ou musiciens professionnels, les élèves scolarisés à la maison ou encore des personnes déjà actives dans le monde du travail. Ces formations à distance débouchent sur des diplômes officiels, ne sont pas limitées dans le temps et les examens peuvent se répartir sur plusieurs années.
Au sein de l’EPSU, chaque élève a sa chance de réussir et d’accèder aux études supérieures, mais il sait qu’en intégrant l’école, rigueur et discipline seront les mots clefs de sa réussite.

Esthel Brunschwick