L’été de tous les stores

Volets roulants, stores à lamelles, toile occultante… Wilson Rafael sait tout – mais absolument tout – sur les stores. Ce professionnel passionné est à la tête de Rafael Store, une entreprise genevoise dynamique et à taille humaine où chaque client, qu’il s’agisse d’une agence immobilière, d’un architecte ou d’un particulier, bénéficie d’un suivi personnalisé. Cette PME, qui compte six collaborateurs dont un apprenti («J’accorde beaucoup d’importance à la notion de transmission», souligne Wilson Rafael), est active essentiellement dans les cantons de Genève et Vaud.
Le choix d’un store est toujours délicat. Comment choisir un modèle adapté, garantissant une efficacité maximale? Quel type de store résistera le mieux au vent? Faut-il privilégier un store avec caisson? Si les solutions disponibles sur le marché sont nombreuses, «chaque situation est unique, précise Wilson Rafael. Tout dépend du contexte et de l’utilisation que l’on veut en faire». Mais une chose est certaine: c’est le moment de s’équiper pour les beaux jours. «A cette période de l’année, les délais pour tous les types de stores, mais aussi les moustiquaires et les pergolas bioclimatiques, sont très raisonnables. En revanche, d’ici deux ou trois mois, ils vont commencer à être plus importants».

L’équipement adapté à chaque besoin

Ces dernières années, le store toile s’est largement imposé pour la protection qu’il offre contre le soleil, mais aussi pour son esthétique. Décliné en une multitude de modèles – toile unie, imprimée, couleurs claires, sombres ou vives – le store toile permet de s’adapter à n’importe quel type d’architecture, apportant même un cachet supplémentaire à une façade, notamment contemporaine.
«S’il s’agit d’un store toile pour terrasse, nous conseillons toujours aux clients de s’équiper, quand c’est possible, d’un coffre. La toile sera ainsi bien protégée durant toute l’année, alors que dans le cas d’un store toile avec juste un toit de protection, les oiseaux peuvent venir nicher et, en plus, la toile peut prendre l’eau».
Le store toile zip vertical, à toile occultante, est également très apprécié. Il s’agit d’un tissu microperforé pouvant résister à des rafales de vent allant jusqu’à 70 ou 80 km/heure. La toile protège à 95% des ultra-violets et garantit l’intimité des occupants de la pièce. «Ils peuvent regarder dehors, souligne Wilson Rafael, mais depuis l’extérieur, on ne voit rien». Autre avantage: ce type de store prend moins de place au niveau du caisson, offrant des finitions soignées.
Autre installation très demandée à l’approche de l’été: la moustiquaire qui permet de se protéger des moustiques et des mouches, ainsi que des pollens, grâce à des treillis spéciaux. Les moustiquaires sont à la fois discrètes et faciles à poser grâce à des modèles à clip que les spécialistes de Rafael Stores adaptent en fonction de la fenêtre, sans aucun perçage.

La pergola bioclimatique, nouvelle pièce à vivre

Elégante et offrant un confort cosy tout au long de l’année, la pergola bioclimatique connaît un succès grandissant. Elle se compose d’une structure en aluminium et d’un toit à lames orientables qui, en fonction du modèle, peuvent être rétractables. Les toits vitrés, qui permettent de bénéficier de la lumière du jour sans sacrifier le confort thermique, ou les toitures en tissu sont aussi très demandés. «L’avantage du tissu, explique Wilson Rafael, est de pouvoir profiter d’un ciel dégagé, une fois le toit replié». Cependant, souligne le spécialiste, ce type de toit se révèle plus fragile et son utilisation se limite à l’été afin d’éviter les dégâts liés à la pluie, par exemple.
Le design minimaliste reste une tendance forte, avec des structures en aluminium épurées qui s’adaptent parfaitement aux espaces contemporains et, même si le choix de couleurs est vaste, le gris reste le plus demandé car il s’intègre facilement à l’environnement. Autre avantage: l’installation d’une pergola bioclimatique à Genève ne nécessite pas d’autorisation de construire. Une pergola bioclimatique est exposée chez Rafael Stores, permettant ainsi de découvrir cette nouvelle «pièce à vivre».

Virginia Aubert