Le 5e principe de Léonard de Vinci

Le Grand Vivant a dit, si tu penses comme la falaise, alors fais un pas en avant. Les quatre principes de Léonard de Vinci, formulés en américain pour faire dans l’universalité – «study the science of art, study the art of science, use your eyes, make connections» – sont d’une urgente actualité.
L’intelligence humaine découvre avec stupeur les limites de son art et de sa science. Le 5 factoriel, soit 120, le nombre de connexions entre nos cinq sens, odorat, goût, toucher, ouïe, vision, offre à nos potentiels une nouvelle dimension. Apprentissage ou divertissement, la question de Shakespeare réveille Archimède, Newton et Einstein; l’imagination va plus loin que la science. L’art devient dramatique; la chance à saisir que l’humanité, par flemme naturelle, ne saisira pas.
Le 4 factoriel, nombre de connexions entre les quatre principes de travail appris du vieux Verrocchio par le jeune Léonard, soit 24? Davantage qu’une méthode, du sens pour notre existence. Se jeter sans réfléchir dans l’univers, ses natures, ses trous noirs, et s’émerveiller des ses imaginations et de ses questionnements.
(120 x 24) factoriel, 2880 factoriel, 25766510657 suivis de 8715 chiffres. L’entendement est débordé. La science abandonne, l’apprentissage semblant être impossible, l’on privilégie le divertissement. Ne pas penser devient la règle. Laissons à Socrate l’expression du 5e principe de Vinci et le mot de bonne fin, «connais-toi toi-même». Le factoriel de moi, cela fait combien?

Pécub
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