Ils ont quelque chose de Plus

Bonjour, parlez-nous un peu de vos parcours respectifs…
Jonathan: Dans mon cas, je viens de l’univers bancaire. Ayant débuté ma carrière au sein de la BCGe, d’abord en tant que conseiller clientèle, puis spécialiste en financement, et enfin, en qualité de responsable adjoint d’agence, je me suis ensuite dirigé vers le courtage hypothécaire en rejoignant Defferrard & Lanz (nouvellement MoneyPark suite à la fusion des deux sociétés). Ces dernières années, des responsabilités de management sont venues s’ajouter à ma mission de base, qui demeure l’accompagnement de la clientèle et des partenaires.
Patrick: Pour ma part, je viens du conseil en gestion de patrimoine. J’ai exercé au sein de différentes entreprises puis, pour l’entité que j’ai fini par fonder, CSFI Partners SA pendant 16 ans. Cette expérience m’a permis de toucher à des domaines divers comme la prévoyance, les assurances mais aussi l’immobilier et la fiscalité. Finalement, mon point de départ est légèrement différent, ce qui n’a pas empêché nos trajectoires, à Jonathan et moi, de se rejoindre!

Comme on le constate, vous disposez tous deux d’une expérience très complémentaire. Comment définiriez-vous votre engagement au sein du Groupe Plus?
Patrick: Le bureau ayant un an d’existence, je dirais que le potentiel de développement est énorme. C’est ce challenge qui m’a tout de suite plu. Le marché du canton est particulièrement dynamique, avec des acteurs internationaux et une capacité d’attraction du territoire qui ne se dément pas. Notre première tâche, c’est d’abord le développement.
Jonathan: En effet, et j’ajoute le fait de nous inscrire dans la démarche originale qui fait la marque de fabrique du Groupe Plus: un acteur indépendant qui travaille avec tout le monde dans l’intérêt de ses clients, qu’ils soient professionnels ou particuliers. Nous comptons d’ailleurs continuer à nous investir dans la promotion en participant activement au financement de programmes dans le neuf.

Vous avez dû le constater aussi, la fluctuation des taux change un peu la donne. Quelle est votre lecture, en tant que professionnels en contact régulier avec les grands organismes de financement, de cette conjoncture? Et à votre avis, à quoi faut-il s’attendre dans les mois à venir?
Patrick: D’emblée, la bonne nouvelle est l’inflexion de la courbe des taux dans l’autre sens. Alors que tout le monde regardait le coût de l’hypothèque monter sans cesse, celui-ci commence enfin à redescendre. Il faut dire aussi que l’on partait, auparavant, de conditions d’emprunt assez exceptionnelles! Cela étant, le passage sous la barre des 2% en fonction des durées, avec nos différents partenaires, devrait réveiller bien des envies d’immobilier.
Jonathan: Cette hausse ne pouvait pas durer éternellement, car personne, que ce soit le marché ou les instances gouvernementales, n’a intérêt à ce que ce secteur soit bloqué. C’est donc naturellement que la BNS n’a pas augmenté son taux directeur lors de la dernière annonce et que les conditions de financement se sont sensiblement améliorées. De plus, les acteurs sur ce marché étant de plus en plus nombreux, entre les banques, les assurances et les pure players numériques, il y a vraiment tout à gagner à faire jouer la concurrence.

Patrick Didi.

On le voit, le marché de l’immobilier n’a pas fini d’évoluer et de nous étonner! Merci à Jonathan Naegeli et Patrick Didi de cet échange et n’hésitez pas, vous aussi, à frapper à la porte de Plus Financement Immobilier pour profiter en toute simplicité de leurs conseils avisés! 

propos recueillis par
Carla Angyal